Actualité économique

0La croissance suédoise devrait finalement tourner autour de 2 % en 2012, au lieu de 3 % comme initialement prévu. Si indicateurs économiques sont baisse et les experts pessimistes, Göteborgs Posten explique que Borg, tout comme le patron sortant de Volvo, Leif Johansson, "ne croient pas à une crise profonde, ni à une répétition de 2009. " "Cette fois, il n’y aura pas de chute libre, pas de nouveau Lehman Brothers" déclarait Borg, et Mårtens Wikfors, responsable du service de presse chez Volvo, d’abonder : "nous sommes beaucoup mieux préparés cette année." De fait, en période de crise, l’emploi est en principe l’un des premiers indicateurs à souffrir, rappelle SvD, "mais les agences de recrutement ou d’intérim ne constate quand à elles une diminution des demandes pour le moment : aucun client n’a annulé de commande".

De même, a presse s’étonne du calme de Stefan Ingves, le directeur de la Banque Centrale suédoise, qui continue à pronostiquer des hausses des taux d’intérêt pour les 3 prochaines années, alors que les banques suédoises annonces une stagnation des taux en question. "Les choses vont tout de même relativement bien dans le monde, si l’on excepte quelques pays pris individuellement" estime Ingves "Qui croire ?" s’interroge Dagens Industri, qui rappelle que pour de nombreux Suédois, ces chiffres ont une influence très concrète sur les taux de leurs crédits immobiliers : "Si les taux d’intérêt augmentent, il faut préférer un taux fixe, s’ils sont prévus stables ou en baisse, il faut choisir un taux variables. Mais que choisir à présent ?"

Modifié le 17/08/2011

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